La classe «Défense» de Saint Paul-Bourdon Blanc, gardienne d’un drapeau Rhin et Danube...
- D. Bazireau
- 2 mai 2019
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Depuis mardi 30 avril, l’Etablissement scolaire Saint Paul-Bourdon Blanc s'est officiellement enrichi de l'existence d'une classe Défense. Aussitôt son officialisation, le Souvenir Français lui a confié la garde d'un drapeau Rhin et Danube.
C'est à M. Bernard Lombardo, directeur-adjoint en responsabilité du Lycée professionnel de Saint Paul-Bourdon Blanc qu'est revenu le soin d'animer ce moment empreint de solennité dans son contenu, mais aussi de simplicité dans sa forme et guidé par le plaisir "d'être ensemble". Ont été remerciés pour leurs présences, Mr Gérald Marbois, directeur départemental de l'office national des anciens combattants et victimes de guerre, Le Général Abel Moittié, conseiller délégué à la Mairie d'Orléans, le Lieutenant-Colonel Salle, délégué militaire départemental adjoint, le Major Broquard du CPA 10, animateur de la classe défense et des actions "Randonnée Mémoire", M. Jean-Christophe Denis, délégué général départemental du Souvenir Français.
Signatures et transmission du drapeau
Ont aussi été associés à ces remerciements, les élèves de la classe de 2nd "Systèmes Numériques" qui, désormais, seront les "porteurs" des valeurs de la toute nouvelle classe Défense et tous les enseignants qui ont accompagné l'initiative. Pour la circonstance, deux jeunes gens des classes de 3ème préparatoire aux formations professionnelles qui avaient participé au concours "Les jeunes pour la Paix" ont été récompensés; Dryce pour la symbolique de son dessin et Léa, pour la qualité artistique du sien.
La projection d’un documentaire sur l’épopée de la 1ère Armée Rhin et Danube a précédé la séance des signatures de la convention et la remise du drapeau par MM. Pichon et Rossignol du Souvenir Français à M. Sébastien Gomez, directeur général de l'établissement Saint Paul-Bourdon Blanc. Lui-même, l'a confié à Thibault, nouveau porte drapeau délégué de la classe Défense.
Parmi les différentes interventions, celle du Général Moittié a sans doute redit l’essentiel: «N’oublions pas que dans les propos enthousiastes du commentateur de l’époque, ne sont pas évoqués les blessures, mutilations, deuils et toutes autres souffrances qu’occasionne une guerre! Faisons tout pour ne pas avoir à le revivre...»




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